La presse féminine, née au XVIIIe siècle pour fédérer les femmes, est aujourd'hui accusée de les asservir.
En cherchant à déplacer le sexe faible du (ce que l'on pourrait appeler) « genre en soi » au « genre pour soi », comment cette littérature n'a t-elle fait que prolonger les inégalités entre les sexes ?
Et pourquoi la presse féminine, qui cherchait à solidariser les femmes en réaction à la société des hommes, s'est-elle retrouvée à manger dans la main de la société du spectacle ?
Mon avis sur la question, par ici.
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