En ma qualité d'estomac sur pattes et gastronome de petite vertu, mes copines de Sauf Mention Contraire m'ont invité à leur soirée thématique "mini-kebab et maxi sushi".
Ce workshop de cuisine expérimentale a vu sa genèse dans l'interrogation suivante : pourquoi les mecs sont-ils toujours "plus chauds kebab" et les meufs "plus motiv japonais" ? La petite taille (et le côté ludique) des sushis et des makis à tremper dans de la sauce soja y est-elle pour quelque chose ? Est-ce le côté gros porc-sauce dégoulinante du traditionnel salade-tomates-oignons qui rebute ? Et donc : est-ce que la taille compte ?
C'est mues par ces questions existentielles que Delphine, Lucie et Margaux m'ont proposé de contrer les lois (culinaires) de la nature, en préparant des maxi-sushi (aussi gros que les dimensions d'une feuille d'algue le permettent) et des mini-kebab (autrement dit, d'adoraaaables petits amuse-gueules de kebabounets).
Je n'en dis pas plus. Résultats de la recherche conduite par les grands cuistots-chercheurs que nous sommes, sauf mention contraire... bientôt sur SMC (Sauf Mention Contraire, donc - suivez un peu !)
4 commentaires:
Je craque volontiers pour l'énorme california roll.
Rapport calorique pensé : 10 minikebabs > 1 maxi maki
Rapport calorique effectif : 1 maxi maki > 20 minikebabs
Miam ! Bon, et le maxi maki vous le mangez découpé avec des couverts en mode civilisé dans une grande assiette ou vous le croquez à la barbare comme des goulues poltronne je porte un objet phallique dans ma bouche ?
Just asking :)
On ne va pas spoiler les résultats de la recherche ! Vous irez voir sur le blog des copines, en temps voulu.
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